Inès Andrieu d'Iray
Qui suis-je ?
Je suis Inès Andrieu d'Iray et je suis Chargée de mission pour la protection des espèces sauvages au Comité français de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN). Ma sensibilité environnementale me provient de mes racines à la fois normandes et savoyardes qui m'ont permis d'être entourée depuis enfant d'une nature foisonnante et très diversifiée. J'oeuvre aujourd'hui pour que la protection de nos espèces de la faune, de la flore mais également de la fonge soit toujours mieux prise en compte dans la réglementation, à travers un plaidoyer actif envers nos élus et les acteurs du secteur privé. Je travaille par exemple au renforcement de la lutte contre le trafic des espèces sauvages, dont l'ampleur classe ce commerce illégal parmi les quatre activités de criminalité transnationale organisée les plus lucratives au monde.
Pourquoi Écologie Positive et Territoires ?
J'ai l'immense plaisir et honneur d'être Secrétaire générale adjointe du parti Ecologie Positive mené par Yann Wehrling. Sa vision de l'écologie pragmatique, basée sur de réels compromis et objectifs ambitieux mais atteignables m'ont redonné espoir dans les discours politiques. A travers mon expérience professionnelle passée et présente, j'ai eu l'opportunité de dialoguer avec tous les échelons d'acteurs de notre société : directeurs de grandes entreprises, maires, agriculteurs, députés, sénateurs, jeunes entrepreneurs, acteurs de la société civile, bénévoles et salariés d'ONG... Cette pluralité de rencontres et de dialogues m'a persuadée que nous sommes toujours plus nombreux à vouloir faire du développement durable et de la préservation de notre biodiversité une priorité pour le bien de tous. Si certains restent à convaincre, nous ne devons pas leur fermer la porte mais bien au contraire, ouvrir un espace de dialogue constructif qui nous permettra d'avancer toujours plus (et plus vite !) vers une évolution de nos pratiques. Pour cela, il est nécessaire de réfléchir à tous les échelons et de ne pas se bloquer dans des discours et actions qui ne représentent qu'une partie de nos citoyens. Il est primordial de ne pas avoir peur des idées novatrices mais d'également savoir ressortir certains bons remèdes de grand-mère qui ont pu être oubliés par perpétuel besoin de changement.
Par-dessus tout, et contrairement à la stratégie politique instaurée ces dernières années d'ignorer celui ou celle qui pense différemment, il est fondamental de s'appliquer à écouter et entendre toutes les voix, surtout dans les dossiers plus complexes, afin d'établir de réelles et efficaces mesures, représentatives à la fois des réalités de terrain mais également des exigences à atteindre pour préserver nos écosystèmes et ce qu'ils abritent.
C'est pour moi ce que représente la liste Ecologie Positive et Territoires, et c'est la raison pour laquelle j'ai accepté de m'engager sur celle-ci.